Les
humains sont des animaux sociaux, tissant un inextricable réseau de liens avec
des amis, collègues, voisins et ennemis. Ces réseaux ont toujours été avec
nous, mais les progrès des technologies d’interconnexion, les changements liés
à notre économie et un marché de l'emploi en pleine modification, ont accru le
pouvoir de la mise en réseau, la promouvant au cœur de la pensée
organisationnelle.
Les réseaux sociaux offrent d'énormes possibilités pour les personnes désirant collaborer.
Mais jusqu'à présent, la réflexion a porté uniquement sur la manière dont
organisations peuvent répondre et à capitaliser sur les réseaux. Ce rapport
fait valoir que nous devons examiner aussi comment les organisations utilisent les
réseaux à leurs propres fins. C'est là que se dessinent les nouveaux contours
de l'inégalité et du pouvoir. Nous devons faire face au côté obscur des réseaux
côté obscur, ainsi qu’à leur potentiel réel.
Réunissant des études de cas de six organisations, les citoyens en réseau la
clé met en exergue les lignes de faille auxquelles les personnes et les organisations
devront faire face dans le futur monde du travail. Ne pas le faire met en péril
les qualités que nous avions investi en eux: l'ouverture, l'innovation, la
collaboration et la méritocratie. Étant donné que les réseaux peuvent servir à
de bon ou de mauvais desseins, facilitant l’éclosion des talents et des idées
de la majorité ou la promotion des intérêts de quelques-uns, la nécessité d'un
nouvel ensemble de responsabilités est un besoijn de plus en plus manifeste. Si
nous sommes membres du réseau, nous devons être aussi des citoyens réseau,
Google
translate (modified)
Voir
aussi les autres rapports http://www.demos.co.uk/publications