INRIA Ouvrage coordonné par Lisette Calderan, Pascale Laurent, Hélène Lowinger et Jacques Millet
Collection : Sciences et techniques de l'information
2012, 255 page(s), ISBN 978-2-84365-142-7
35,00 € TTC
Ajouter au panier
Présentation de l'ouvrage
Ne serions-nous pas en train d'assister à
l'éclosion du web sémantique ? Le paysage informationnel poursuit en
effet une mutation qui nous conduit à interroger à nouveau la nature
même du document : où commence-t-il, où finit-il ? Et d'ailleurs
finit-il vraiment ? Quelles en sont les frontières constitutives ? Pour
cela, il nous faut comprendre l'environnement dans lequel
il évolue désormais : le web de données.
À l'occasion du séminaire IST proposé par l'Inria en 2012, des contributions de spécialistes de disciplines diverses sont ici réunies pour nous aider à clarifier différentes notions qui se croisent et se confondent parfois (web sémantique, web de données, linked data...) et nous permettre d'appréhender ce qui forge et structure aujourd'hui un « document », dans ses aspects tant techniques que sémantiques, sans oublier les dimensions sociétales et juridiques.
Ainsi posé, le document apparaît bien comme une pièce de ce gigantesque ensemble de données. À tel point que l'on peut se demander si, à l'heure du web de données, les professionnels de l'information ne se mesurent pas plutôt à des « ressources » qu'au seul traitement de « documents ».
il évolue désormais : le web de données.
À l'occasion du séminaire IST proposé par l'Inria en 2012, des contributions de spécialistes de disciplines diverses sont ici réunies pour nous aider à clarifier différentes notions qui se croisent et se confondent parfois (web sémantique, web de données, linked data...) et nous permettre d'appréhender ce qui forge et structure aujourd'hui un « document », dans ses aspects tant techniques que sémantiques, sans oublier les dimensions sociétales et juridiques.
Ainsi posé, le document apparaît bien comme une pièce de ce gigantesque ensemble de données. À tel point que l'on peut se demander si, à l'heure du web de données, les professionnels de l'information ne se mesurent pas plutôt à des « ressources » qu'au seul traitement de « documents ».